L’équipe

Dominique Dellac

J’habite à Montfermeil depuis 1990. Bientôt trente ans…
… Et je me suis toujours dit que la ville et ses habitants méritaient mieux que la ville-dortoir que nous connaissons et qui offre si peu de services à ses habitants alors que nous payons beaucoup trop d’impôts locaux.

J’ai étudié au lycée du Raincy, de la seconde aux classes préparatoires. Titulaire d’une maîtrise de lettres modernes, j’ai ensuite passé une maîtrise d’information et de communication au Celsa – Université Paris I – Sorbonne.

Je suis mariée et mère d’une grande fille de 28 ans.
Parent d’élève engagée à la FCPE, je me souviens d’une manifestation qui avait conduit quelque 500 parents d’élèves en mairie, réclamer un peu de concertation quand la restauration collective (cantine et repas servis aux personnes âgées) a été concédée au privé, avec moindre qualité et augmentation des tarifs.

Professionnellement, j’ai créé l’agence de communication le bleu du ciel, dont j’ai été Présidente-Directrice générale, avant de rejoindre une agence de communication nationale comme directrice-conseil. Pendant 10 ans, j’ai donc pris les transports en commun au quotidien pour me rendre à Paris. Bus, train, métro… Je comprends bien la fatigue et la lassitude des Montfermeillois.e.s qui vont en grande majorité travailler ailleurs. Et c’est pourquoi je pense que notre ville devrait se préoccuper de l’activité économique et de l’emploi.

Et aujourd’hui ?

Conseillère départementale de Seine-Saint-Denis depuis 2015, je représente le canton de Tremblay (Montfermeil, Coubron, Vaujours, Tremblay) au sein du Département. Présidente de la commission Culture-Sport, je siège dans de nombreux conseils d’administration (Festival de Saint-Denis, Rencontres Chorégraphiques Internationales de Bagnolet, Côté Court, Centre Départemental Enfance et Famille, Sequano Aménagement…).
Au plan local, je représente le Département au conseil de surveillance de l’hôpital de Montfermeil et dans les conseils d’administration des collèges Jean-Jaurès et Pablo-Picasso.
Je suis également Présidente de Seine-Saint-Denis Tourisme, l’agence de développement touristique de la Seine-Saint-Denis.

En 2014, ma passion pour la culture et le souhait de la partager, d’offrir de nouveaux horizons aux jeunes de notre territoire, m’ont conduite à créer MC2 (Montfermeil Clichy Culture), association que le maire de Montfermeil s’est toujours refusé à subventionner.

Farid Kachour : donner à nos enfants la possibilité de réussir

Je suis natif de Montfermeil et âgé de 49 ans.

Après des études universitaires en Biologie (DES en Microbiologie, Maitrise en Biochimie et DEA en Epidémiologie), j’ai de suite été confronté à la discrimination à l’embauche et vu toutes les portes se fermer devant moi.

De nature combative et refusant le fatalisme, j’ai donc entrepris une carrière dans le domaine de la logistique, intégré le groupe Géodis en 1997, où j’ai gravi les échelons un à un du poste de manutentionnaire à celui de Directeur logistique nationale du groupe UFP international de 2007 à 2012.

En 2012, fort d’une expérience avérée et reconnue en logistique, je suis devenu consultant expert en logistique et j’ai, la même année, décidé de m’investir dans le milieu associatif afin de contribuer à la vie sociale de ma ville et au développement du vivre ensemble.

J’ai grandi dans le quartier des Bosquets. Tous mes rêves, toutes mes réussites ont germé dans mon esprit dans mon merveilleux quartier. Mon quartier, ma ville m’ont tant donné. Aujourd’hui, je veux lui renvoyer l’ascenseur et donner à mes enfants, aux enfants de mes amis et aux enfants de Montfermeil la possibilité de réussir. Ensemble, nous allons construire demain et faire un Montfermeil autrement.

Durant ces 40 dernières années, notre ville s’est enrichie, puisant sa richesse dans sa grande diversité. Notre ville est une vraie pépinière de talents. Pour leur permettre d’éclore, il faut penser la politique de la ville autrement. Plus de justice sociale, plus d’égalité, aucun clivage, aucune discrimination entre tous les Montfermeillois.

Aujourd’hui, je m’engage auprès de Dominique Dellac et la liste Montfermeil autrement, la seule capable de mettre fin à 35 ans de politique de droite dure !

angélique

Angélique Planet-Ledieu

33 ans, Montfermeilloise depuis mes 18 ans, pour rejoindre mon conjoint qui habite ici depuis toujours.

Conseillère municipale depuis 2010, arrivée en cours de mandat, j’ai été réélue en 2014 sur la liste du Front de Gauche.

Assistante Sociale depuis 2008 pour un Conseil départemental, je suis amenée à recevoir toute famille ou personne qui habite un territoire précis, avec des problématiques différentes et un large domaine d’intervention.

Je suis mariée, mère de trois enfants de 9 ans, 7 ans et 2 ans. Mes aînés sont scolarisés dans une école publique de Montfermeil, et je suis parent d’élève élue depuis plusieurs années.

Secrétaire de section du Parti Communiste à Montfermeil, je travaille au rassemblement des forces de gauche, animatrice parmi d’autres du Front de Gauche pour faire vivre l’opposition politique et le rassemblement citoyen.

Construire Montfermeil autrement est une nécessité. Je souhaite une ville où les écoles auront les moyens humains et matériels, les équipements suffisants pour fonctionner, où des aires de jeux praticables en sécurité permettront de se retrouver avec d’autres familles, avec des enfants d’âges différents. Une ville où l’offre de loisirs et de culture ne nous obligerait pas à prendre notre voiture ou à réfléchir aux temps de transports nécessaires. Une ville qui fasse confiance à ses habitants, qui ne seraient plus obligés de fournir des documents par dizaine pour inscrire leurs enfants à l’école, au centre, à la cantine… Qui soutiendrait ses habitant.e.s à la recherche d’un emploi en permettant l’accès à la cantine des enfants de demandeur d’emploi. Une ville où la réponse aux questions des parents d’élèves, aux demandes des associations ne seraient pas l’ignorance, la leçon de morale ou le mépris.

Une autre façon de vivre la ville au quotidien.



Christian Brickx, le service public dans les gènes

J’ai 52 ans, je suis marié et père d’une fille de 22 ans.
Montfermeillois depuis octobre 2007 et élu municipal depuis mars 2008. Être conseiller municipal quelques mois après mon arrivée dans la ville, cela peut paraître rapide. Pourtant, c’était pour moi la meilleure façon de connaître cette ville qui ne mérite pas sa mauvaise renommée.

Je termine mon deuxième mandat dans l’opposition à Xavier Lemoine. Je serai encore présent en mars 2020, au sein d’une nouvelle équipe, majoritaire cette fois-ci, qui aura à cœur de faire Montfermeil autrement. Une nouvelle équipe avec à sa tête Dominique Dellac.
Je travaille dans une collectivité territoriale de Seine Saint-Denis depuis 30 ans. J’ai le service public dans les gènes. Ce service qui permet l’accès égalitaire pour tous. Avec, pour les services payants, des tarifs qui commencent à la gratuité en fonction des revenus des familles. Des services présents partout sur le territoire.
Ce que je souhaite, c’est construire une ville à vivre. Une ville de culture, de sport, d’emplois. Ce sont des éléments qui doivent être parties intégrantes de notre ville. Je ne veux pas d’une ville dortoir. Une ville que l’on connaît à peine parce que rentrant tard le soir en semaine et le week-end rempli de choses à faire.

Je veux une ville à vivre, une ville autrement.


 

 


Marie-Jeanne Lakhnati, pour une société plus solidaire

Je suis née à Paris de parents émigrés italiens. Mon mari, marocain, avait quitté le Maroc pour suivre ses études en France. Après 40 ans de mariage, je suis aujourd’hui veuve. J’ai été imprégnée de cette culture maghrébine et l’inter culturalité constitue pour moi la plus grande des richesses.

J’ai habité 20 ans à Clichy-sous-Bois et vis depuis 30 ans à Montfermeil. Je suis donc sensible aux problématiques et aux enjeux de notre ville.

J’ai enseigné les mathématiques durant 42 ans en lycée professionnel, mené de nombreux projets dans le cadre de cette activité professionnelle avec des jeunes dits « difficiles », et en échec scolaire.

J’ai notamment été présidente d’une association de solidarité internationale durant 15 ans, qui intervenait dans un village de brousse au Sénégal, en associant les jeunes du lycée à diverses démarches citoyennes et solidaires, en France et lors de séjours au Sénégal.

Aujourd’hui retraitée, je continue mon action en direction des jeunes « défavorisés » en enseignant les mathématiques à des détenus soucieux de préparer un diplôme.

Dans le cadre de ma vie professionnelle au sein de l’Education nationale, j’ai toujours milité syndicalement.

Ma vie personnelle, ma vie professionnelle, mes engagements syndicaux sont le reflet d’un désir profond de voir s’épanouir une société plus solidaire, sensible aux détresses qui nous entourent, ouverte à toutes les cultures.

Aujourd’hui, pour notre ville, c’est Dominique Dellac qui est à même de porter ce projet et défendre ces engagements.

Jean-Riad Kechaou, une autre politique locale pour poursuivre la rénovation urbaine

Agé de 40 ans, je suis originaire de l’agglomération lyonnaise. Je suis marié à une Montfermeilloise ayant grandi dans le quartier des Bosquets et père de deux enfants. Je suis professeur d’histoire-géographie depuis 2002 et exerce au collège Camille-Corot dans le quartier des Coudreaux, à  Chelles. Depuis 10 ans, je me suis spécialisé dans le décrochage scolaire et forme des jeunes à l’art oratoire. J’écris pour le site internet de l’hebdomadaire Politis sur le thème de l’éducation. Mon blog, intitulé « Un prof sur le front », se veut résolument engagé. En 2017, je suis revenu à ma première passion : le journalisme, métier que j’ai exercé durant mes études. Je suis l’auteur d’un essai sur la cité des Bosquets ayant pour titre «93370, les Bosquets un ghetto français» publié aux éditions Meltingbook. Suite aux attentats de janvier 2015, j’ai pris la décision d’écrire ce livre car il me semblait intéressant d’expliquer à la plus petite échelle possible, celle d’un quartier, les raisons des problèmes dans les banlieues françaises dites défavorisées, plus que jamais stigmatisées après cette vague de terrorisme. Ce livre est également une manière de laisser une trace de l’échec urbanistique de cette résidence privée, et aussi un hommage rendu aux habitants et aux acteurs de terrain qui ont lutté et qui luttent encore contre les effets désastreux de la ghettoïsation. 

Aujourd’hui, je m’engage naturellement sur la liste Montfermeil autrement car sans une autre politique locale, la rénovation urbaine ne pourra changer en profondeur la ville de Montfermeil.

Laurence Ribeaucourt, la passion des autres

 

Enfant de Seine-Saint-Denis, j’habite le centre-ville de Montfermeil depuis 25 ans.

Après des études supérieures de psychologie, j’ai obtenu un diplôme d’assistante sociale, profession que j’exerce au collège Jean-Jaurès depuis 28 ans.

Membre de la « société civile », n’appartenant à aucun parti, je me suis engagée dans la politique locale en 2001, sur la liste d’union de la gauche conduite par Pierre Girault. J’ai donc été conseillère municipale d’opposition durant 6 ans. Aux élections municipales de 2008, j’ai été désignée tête de liste du rassemblement de la gauche et de l’écologie.

Ma passion pour le sport, les valeurs qu’il porte, et mon activité professionnelle m’ont conduite à un engagement associatif très fort. Ainsi, je suis ou ai été présidente du foyer socio-éducatif et administratrice de l’association sportive de mon collège ; fondatrice et présidente d’APART, association d’insertion professionnelle des jeunes par le sport ; dirigeante et chargée de partenariat au Football Club de Montfermeil ; vice présidente de l’ARIFA, association de médiation culturelle ; administratrice du boxing club de Montfermeil, du centre social intercommunal de la Dhuys, de Montfermeil-Clichy Culture.

Cet engagement associatif a été reconnu par des instances départementales, régionales et nationales. Ainsi, je suis chargée de mission pour l’Agence pour l’éducation par le sport et consultante pour le développement de projets d’éducation et de prévention par le sport auprès de communes, d’associations et de collèges ; formatrice à l’école d’éducateurs et d’assistants sociaux sur les questions de cohésion sociale et de projets de territoire ; et engagée dans des groupes de travail pour les JO de 2024, notamment sur la création d’emplois.

J’ai décidé de mettre mon expérience au service de Montfermeil autrement et de Dominique Dellac pour finaliser cet engagement local de longue durée. La population de notre ville est diverse. Cette diversité constitue une richesse culturelle qui n’est pas suffisamment mise en valeur. Il y a à Montfermeil de grands talents, à l’image de Ladj Ly. Je souhaite agir demain au sein d’une municipalité qui donne sa chance à chacun.

Vincent OLIVE

Agé de 50 ans, je suis marié et père de deux enfants. Je suis Montfermeillois depuis 2005. Je Préside l’association La Passerelle, dont l’action consiste à accompagner les « anciens » jeunes de l’association Concorde vers l’autonomie.

J’ai décidé de m’engager auprès de Dominique Dellac et de Montfermeil autrement pour :

– créer la démocratie participative dans notre ville ;

– organiser la commune autour de pratiques en adéquation avec le développement durable ;

– favoriser la solidarité inter-génération et plus globalement le vivre ensemble ;

– mettre l’intérêt de tous les habitants au cœur de l’action politique.

 

 

 

 

Sophie Mathias, pour améliorer la situation des personnes handicapées

Sophie Mathias, 42 ans, assistante médico-administrative, depuis 13 ans, pour la Groupe Hospitalier Territorial Grand Paris Nord Est.

Je vis à Montfermeil depuis cinq ans, mais née en Seine Saint-Denis, je connais la ville depuis toujours. J’y ai été scolarisée (primaire et collège).

Je suis mère d’une jeune femme de 21 ans, étudiante en art.

Participer à la vie politique locale est le meilleur moyen de faire en sorte que les projets qui nous tiennent à cœur, se réalisent ; c’est en ce sens que j’ai participé aux élections municipales de 2014, pour une commune voisine.

C’est dans cette même logique que je m’engage auprès de Dominique Dellac et de la liste Montfermeil autrement.

Je me sens particulièrement concernée par les problèmes de logement, d’accès à la culture.

Améliorer le quotidien des personnes en situation de handicap me préoccupe tout particulièrement.

Mon souhait pour notre ville est qu’elle soit écologique, accessible, dynamique et surtout que chaque habitant quelque soit ses origines, ses croyances, sa situation familiale et professionnelle, s’y sente bien.

Fanny Brickx, pour défendre la cause animale

J’ai 22 ans. Après avoir étudié au Collège Pablo-Picasso et au lycée Albert-Schweitzer du Raincy, je suis en formation professionnelle dans le domaine animalier. Je lutte pour la cause animale.

Egalement sensible à la lutte féministe, j’ai choisi de m’engager auprès de Dominique Dellac car c’est la seule liste qui aborde le thème de l’égalité femme/homme, qui lutte contre toutes les formes de discriminations genrées et qui respectera enfin à Montfermeil la loi sur le mariage pour tous et toutes.

Son approche écologique est également très intéressante dans le respect des espaces verts et la mise en place de solutions éco-responsables.

Et j’ai l’espoir de me sentir bien en tant que jeune dans une ville qui sera dynamique.